Vous pensez que les hommes sont tous les mêmes ? Encore aujourd’hui ? C’est que vous n’avez pas lu les 18 épisodes précédents de ma série
Vous l’aurez compris, dans ma quête de bien-être et de sérénité pour tous – l’essence même de mon mouvement HappySphere – il est une question qui me tient particulièrement à cœur
Le destin de la Femme
Et pour ce dernier épisode, quelle meilleure façon de m’impliquer sinon de…
me mettre à nu
Oui oui, vous avez bien lu Mesdames. Je vais ôter le voile et tout vous montrer. Tout !
Mais avant cela, une petite rétrospective de la saison s’impose.
Commençons par le commencement : Les Mecs tous les mêmes ? Certainement pas. Sans mauvais jeu de mot, je dirai que le Mâle évolue. Depuis son état le plus primitif – Cro-Magnon – jusqu’à l’Awaritude et plus encore. Trivialement, sa femme promise, c’est souvent la première qui lui a dit oui. Malgré tout, je vous demanderai d’être indulgent avec Cro-Magnon. Bien que le plus souvent rustre avec la gent’ féminine, il est rongé autant par sa frustration sexuelle que par sa peur des Femmes.
Son successeur, ou devrais-je dire son assesseur, j’ai nommé Habilis. Lui est obnubilé par l’entrejambe des femelles voire même par le fin fond de celles-ci (en tout cas, beaucoup plus que par ce qu’il y a autour). Son style de nanas ? Celles qui disent oui tout simplement. Chasseur né, l’Homo-Habilis va là où son sexe a des chances de se décramper. Le reste importe peu. Avec cette manie qu’ont la plupart des femmes de chercher à se retenir de jouir et de faire jouir (de peur d’être prise pour des filles faciles) Habilis va mettre le doigt sur leurs failles et parvenir à ses fins presque par hasard mais toujours dans l’indifférence totale de sa semblable. Contraint de ranger sa frustration et son sexe au plus profond de sa poche en abordant une dame, Habilis est prêt à tout pour arriver à ses fins. Mensonge, tromperie, salades…
Tout passe pourvu qu’Elle y passe
Usé par sa collection interminable de râteaux, lassé par cette fin qui justifie tout moyen, Erectus commence à se poser les bonnes questions – quel est le sens de tout cela ? – tandis que les femmes s’engluent dans le Syndrome de la Redoute, toujours en quête de l’homme parfait et du couple éternel.
Et pour parer à cette lâcheté masculine, Madame la Castratrice ne trouve rien de mieux que de priver son homme de sexe et là. . .
C’est le drame !
Habilis va la tromper encore et encore et Elle, en représailles, va le castrer encore et encore. Face à cette même situation, Cro-Magnon plongera plus profond dans la frustration et la résignation, tandis qu’Erectus commencera à discerner les femmes et sélectionner les compatibles.
Malgré toute la pugnacité du monde, s’obstiner à utiliser un logiciel féminin sur un homme est voué au mal-être de part et d’autre. Alors qu’en fait, le truc c’est que Hommes et Femmes n’ont pas les mêmes attentes, les mêmes schémas de réflexion, les mêmes besoins primaires si chers à M. Maslow.
Et le trait d’union dans tout cela, c’est l’Homme Aware. Evidemment. Vous voulez un exemple ?
Moi
Et oui. Je suis un Homme Aware ou plutôt un Homo-Aware-Aware.
Comment j’en suis arrivé là ?
Enfermé dans de graves problèmes familiaux depuis ma plus tendre enfance, j’ai longtemps cru que l’école était la seule issue possible. Génération X quand tu nous tiens. Difficile à croire aujourd’hui mais à l’époque on m’a collé l’étiquette du Mec-Qui-N’a-Rien-à-Voir-Avec-Les-Meufs. Je vous assure ! Ca doit être tout aussi improbable pour mes amis d’enfance qui me découvrent Coach Féminin aujourd’hui. Va comprendre Marcel.
Pas évident pour un adolescent (qui lutte littéralement pour sa survie à la maison) d’affirmer sa personnalité. Bien qu’ayant rencontré ma première petite amie en 1ère année de maternelle (Fabienne si tu nous regardes…), c’est relativement tard que j’ai eu mes premières vraies expériences intimes avec la gent’ féminine.
Peu glorieuses car vécues en hordes, nos saillies trahissaient une frustration sexuelle sans borne. C’était l’époque où les filles perdues se faisaient manger le cerveau par des nuées d’Habilis jusqu’à accepter l’inacceptable. C’est sans doute le déclic qui m’a projeté très tôt dans la réflexion vis-à-vis des Femmes. Puis les hasards et les difficultés de la vie m’ont amené à ne plus exister en tant qu’être conscient auprès des autres. Même au milieu des gens, j’étais seul. Il n’y avait guère qu’avec des enfants que je me sentais Moi. Et vers l’âge de 33 ans (Jésus si tu nous regardes…), les questions devinrent plus pressantes sur mon existence. C’est là que j’ai découvert l’amour passion. Ses ardeurs enivrantes d’abord, sa folie destructrice ensuite. En voulais-je à la Femme à ces instants ? Je dirai OUI. Mais très vite, cette rancœur a laissé place à un entêtement bien plus tenace : « ne plus jamais revivre ce mal-être Kamel. Plus jamais ça ! »
Ainsi, j’ai aiguisé mon sens du discernement au point de cisailler une personne en moins de 2 minutes : intonation, body language, champ lexical… tout y passait. Et après des dizaines d’expériences et d’autant de désistements, j’ai fini par me débarrasser de mon entêtement et de ma toge de Juge de Femmes (tout juste capable de voir son côté obscur) pour découvrir la Femme dans son Essence, dans sa beauté sublime d’Etre. A moi l’amour serein !
A moi l’Amour léger d’une Femme aimante et compréhensive !
Je dédie cet épisode à Cindy Faway mon amoureuse. Patiente, aimante et audacieuse, elle me porte et me supporte dans mes projets humains et aime m’aimer. Et j’aime l’aimer.
Parmi toutes les femmes, elle est l’une de mes plus riches sources d’inspiration. C’est d’ailleurs à travers Cindy que m’est venu le titre de la saison 2 de ma série :
Le Syndrôme de Jessica
Résolument axée sur l’Homme dans la saison 1, la suite de la série Vie De Femme va nous plonger dans l’intime profond de la Femme. Vous vous demandez sans doute « mais pourquoi Syndrôme de Jessica ? » Je vais tout vous dire. Un jour, alors que mon amoureuse et moi faisions une virée au bord de la Mer du Nord, voilà-t-il pas que… et puis non. On va s’arrêter là. La suite au prochain numéro.
Je vous donne rendez-vous en septembre pour le lancement de la 2e saison. D’ici là, j’organise un petit jeu sur Facebook. C’est tout simple. Selon vous qu’est-ce qui se cache derrière ce titre : Le Syndrome de Jessica. A la clé, un programme de Coaching (d’une valeur de 160 €) offert à celui ou celle qui se rapprocherait le plus de la solution.
Avant de clore cette saison, je souhaite remercier toutes celles et tous ceux qui ont contribué au succès de ce projet.
Cindy, Claudia, Fatia, Sony, Nadège, Virginie, Julie (et son papi), Fabrice, Val’, Raoudha, Fati, Sophie, mes cousins et cousines, mes enfants, ma sœur chérie, ma maman, tous mes lecteurs et lectrices…
merci
Merci à toutes les Femmes
du monde entier !
Je vous aime
L’occasion aussi de vous annoncer que la saison 1 va sortir en édition livre cette année, avec quelques petits bonus notamment.
D’ici là, je vous invite toutes et tous à un petit jeu au sujet du Syndrome de Jessica sur ma page Facebook. Allez ! A vos claviers.
K
Vous souhaitez vous inscrire et connaître
avant tout le monde la sortie de la saison 2 ?