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[dans l’épisode précédent] Monique, Femme évoluée mais avec une connaissance limitée des hommes, fait la connaissance de Gérard, un jeune loup, constamment en quête de chair fraiche et suffisamment expérimenté pour s’approcher de ce gibier avec précaution et à dessein de convoitise : Monique.
Bien accrochée au tableau de chasse de ce prédateur habile et, ne se rendant compte de rien, notre proie se voit déjà vivre la Romance des Amoureux. A côté de cela, Gérard lui, ne rate pas une occasion de se mettre, en cachette, une autre variété sous la dent. En cachette jusqu’à quand ?
Cache-cache, hypocrisie et illusions
Et là . . . (non ! c’est pas encore le drame) s’amorce une tranche de vie que je qualifierais de flottement. Vous et moi sommes omniscients dans cette histoire. On sait que Monique n’a pas encore lu Vie de Femme puisqu’elle ne cherche pas direct à savoir à qui elle a affaire et qu’elle plonge à fond dans le syndrome de la Redoute. Bon, on sait aussi que Gérard, Homo-Habilis pur et dur, est dans l’incapacité de jouir d’autre plaisir que d’assouvir sa frustration sexuelle. Frustration qui dicte et dirige toutes ces impulsions envers Monique.
Quoique non-experte sur l’Homme, Monique est très nettement au-delà de Gérard sur le plan de l’évolution. Pour cette raison, commencera au fil de l’eau une période où elle paiera d’elle-même la note de cet écart. C’est elle qui va commencer à débourser humainement pour le couple :
perte de confiance en soi, souffrance, humiliation. . .
pour l’unique but de sauver son couple. Et aussi logiquement qu’inconsciemment, elle va demander des comptes à Gérard et lui refacturer toutes ses dépenses : porcelaine brisées, scandales, fouilles dans le gsm, cris, heurs, emmerdes.
Privé de sexe, le Gérard plongera encore plus dans l’abîme de la frustration, dont les murs sont tapissés de
« Les femmes ?
Toutes des emmerdeuses tout’façon »
Alors pour seul « remède » . . . il chasse. Il chasse de plus belle, prenant bien soin de prendre une combinaison encore plus camouflante, allant chasser dans des eaux encore plus lointaines, encore plus troubles . . . Frustration quand tu nous tiens.
Et Monique dans tout cela ? Et bien elle va tout faire pour se convaincre qu’elle a un problème en elle (en même temps on a tous un problème en nous). Alors forcément, elle va en trouver (des trucs qui lui viennent sûrement de sa mère, elle-même pas très au point avec les mecs). Et un jour elle décidera de faire un travail sur elle, encore. Et par voie de conséquence, elle sera plus évoluée encore.
Parallèlement à cela, à force de côtoyer différentes espèces sous-marines, Gérard va finir par ressentir un frémissement lors de cascades intimes avec Annette (une jeune Volleyeuse). Un commencement de début de prémices vers le stade d’Home-Erectus ? Pas impossible mais le chemin est encore très long.
Monique va s’accrocher à cette infime impulsion et tout entreprendre pour faire changer Gérard. En vain.
[petit conseil au passage] Je me suis toujours demandé la chose suivante : Qu’est-ce qui vous fait croire Mesdames que vous pouvez faire changer un Gérard ? Et de quel droit vous octroyez-vous le droit de vouloir le changer ? A méditer. . .
Toujours est-il que la Monique, elle roule déjà à 120 et continue d’accélérer alors que le Gérard, et bein il vient juste de trouver la 2e vitesse. Même avec la meilleure volonté du monde, Il ne la rattrapera jamais.
Et là, 2 possibilités pour Monique
Next…
[To be RE-continued]
Et dire qu’à la base, j’étais parti pour faire un tout petit épisode
« Et quoi après ça ? Il nous la joue Amour Gloire & Beauté le K ? »
Wait & See . . .
– K
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